Couverture
Lundi 15 septembre : couverture, la robe
Ce lundi a été consacré à la fabrication de la robe de la charbo, et en fin d’après-midi nous avons pu commencer sa couverture végétale, en rameaux de buis cette année.
En fin de journée, côté pile :
... et côté face : il en reste à faire !
Mardi 16 septembre : la couverture encore, le camp...
Tôt le matin, la charbo est encore toute ébouriffée :
Après avoir coupé encore plein de buis, la clairière s’éclaircit, et la chevelure de la meule s’épaissit, jusqu’à devenir une vraie tenue de bal :
Il est temps de commencer la couverture de terre, avec en bas du peuillon :
En fin de journée, un peu de rangement dans la clairière, et début du montage du camp avec la tente d’intendance.
Mercredi 17 septembre : la couverture encore, le chapiteau, la terre...
Grosse journée à la charbo aujourd"hui : montage du chapiteau et toujours couverture de la charbo.
Par dessus le buis, de l’herbe coupée, avant de commencer à poser les peuillons en bas, et simplement de la terre en haut. Le tamis a dû reprendre du service, et à partir de maintenant c’est chantier terre car il va falloir en fournir !
Comme c’est mercredi, on en profite pour faire travailler les petits.
Et enfin le chapiteau monté : la classe.
Jeudi 18 septembre : de la terre, de la terre, et du bois
Après une nuit pluvieuse, le temps s’est dégagé dans la matinée, on a pu quitter les vestes, mais on a gardé les bottes !
Journée terre, terre, terre, car il en faut. Maintenant elle est pratiquement toute sur la charbo qui a reçu son deuxième rang d’arrêts dans l’après-midi.
Une bonne opération au chapiteau aussi : l’installation des chars de la scène et de la caravane des vécés.
A la fin de la journée, la charbo ressemble à ça :
Vendredi 19 septembre : on prépare le week-end
Toute la journée on a monté plein de choses dans le chapiteau, de l’électricité, des lumières, des tables, du son... bref la fête s’organise !
En bas à la charbo, coupe de bois, rangement et préparation de la place. La fabrication de la terre a été interrompue par l’averse de l’après-midi, il y aura du boulot demain...
Ah, si : on a allumé le premier feu du camp, c’est parti !